- EAN13
- 9782312030487
- ISBN
- 978-2-312-03048-7
- Éditeur
- Les éditions du Net
- Date de publication
- 05/02/2015
- Nombre de pages
- 92
- Dimensions
- 19 x 12 x 0,6 cm
- Poids
- 99 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Résumé :
2 mois se sont écoulés depuis l’affaire du masque en plastique quand, à 200 km de là, un autre corps est retrouvé, nu, étouffé lui aussi, n’ayant pas eu de relation sexuelle mais mort attaché aux barreaux du lit avec une cagoule blanche de protection enfilé sur la tête. Là aussi, tout a été nettoyé, R.A.S, aucune trace, pas de mobile, pas d’effraction. En fouillant dans les affaires personnelles des victimes, les enquêteurs retrouvent, chez deux d’entre elles, un même insigne - Une « Pucelle » - de Sapeurs Pompiers. Il faut vérifier si les « DCD » 1 et 3 se connaissaient pour avoir été ensemble chez les Pompiers, où, quand et comment se sont-ils connus ? Y a-t-il un lien avec les 4 autres ?
Auteur(s) :
En 1976, j’ai eu la chance de pouvoir intégrer la Brigade Des Sapeurs-Pompiers de Paris pour effectuer mon année de service national (ce corps d’Elite étant un corps d’armée, il y était possible d’y faire ce qu’on appelait le service militaire, institution qu’on a eu grand tort de supprimer !). C’est plusieurs années, nombreuses interventions, anecdotes, aventures, péripéties, histoires et autres déboires plus tard, que j’ai retrouvé - par hasard - l’un des jeunes que j’avais eu dans ma section à Villeneuve St-Georges. La fin tragique de ce garçon a été le déclencheur de ma décision en 1986, de tout laisser tomber. Bravo à ceux qui restent, mais après 10 ans de bottes, j’avais perdu mes idéaux. Avec plus de 57 piges au compteur, j’ai envie de leur rendre hommage, au regard de l’histoire qui suit et qui « aurait pu être vraie ».
2 mois se sont écoulés depuis l’affaire du masque en plastique quand, à 200 km de là, un autre corps est retrouvé, nu, étouffé lui aussi, n’ayant pas eu de relation sexuelle mais mort attaché aux barreaux du lit avec une cagoule blanche de protection enfilé sur la tête. Là aussi, tout a été nettoyé, R.A.S, aucune trace, pas de mobile, pas d’effraction. En fouillant dans les affaires personnelles des victimes, les enquêteurs retrouvent, chez deux d’entre elles, un même insigne - Une « Pucelle » - de Sapeurs Pompiers. Il faut vérifier si les « DCD » 1 et 3 se connaissaient pour avoir été ensemble chez les Pompiers, où, quand et comment se sont-ils connus ? Y a-t-il un lien avec les 4 autres ?
Auteur(s) :
En 1976, j’ai eu la chance de pouvoir intégrer la Brigade Des Sapeurs-Pompiers de Paris pour effectuer mon année de service national (ce corps d’Elite étant un corps d’armée, il y était possible d’y faire ce qu’on appelait le service militaire, institution qu’on a eu grand tort de supprimer !). C’est plusieurs années, nombreuses interventions, anecdotes, aventures, péripéties, histoires et autres déboires plus tard, que j’ai retrouvé - par hasard - l’un des jeunes que j’avais eu dans ma section à Villeneuve St-Georges. La fin tragique de ce garçon a été le déclencheur de ma décision en 1986, de tout laisser tomber. Bravo à ceux qui restent, mais après 10 ans de bottes, j’avais perdu mes idéaux. Avec plus de 57 piges au compteur, j’ai envie de leur rendre hommage, au regard de l’histoire qui suit et qui « aurait pu être vraie ».
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